dimanche 7 décembre 2008

la vie de steve XII

Une serveuse pas très importante trouva ensuite un papier, qui contrairement à elle était très important, dans la poche du petit cadavre du petit monsieur du petit restaurant du coin. Ce papier en question était le testament du cadavre en question. Dans son testament, il laissait toute ses possessions à son fils Claude mais malheureusement l’encre avait beaucoup coulée en raison de la quantité mortelle de graisse que le papier avait imbibé et on ne pouvait plus lire «à mon fils». Alors comme tout bonne serveuse en cas d’incertitude, elle cria le nom jusqu’à ce qu’elle ait une réponse. Cette réponse c’est évidement Claude Claude qui lui la donna puisqu’il était encore là toujours affamé mais inconscient du drame qu’il avait mis en marche avec son goût vestimentaire douteux. C’est ainsi que, quelques heures avant d’aller rencontrer Claude, mais pas celle qu’il pense, au petit café du coin, il hérite du petit restaurant du coin qui n’appartenait plus au petit monsieur du restaurant du coin puisque ce dernier était devenu tout récemment un petit cadavre ratatiné mais très graisseux.

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